Poèmes de Laurent Louis Saltini Genève Premier baisé MON PREMIER BAISER Mon premier Baiser Ne fut pas volé, On ne sait pas caché. Sur la crête de la Colline Tu m’as embrassé. Laissant là notre innocence De l’enfance, Noyé dans une délicieuse Lumière, Je me suis envolé Me laissant Emporter Mon premier Baiser Ne fut pas volé, On ne sait pas caché, Sur la crête de la Colline Tu m’as embrassé. Surprise Inattendue, Ta main dans la mienne, Pas un mot, Juste le regard Épris de désir Mon premier Baiser Ne fut pas volé, On ne sait pas caché Sur la crête de la Colline Tu m’as embrassé. Je m’en souviens Encore De cet amour débutant, À l’apprentissage enivrant. Dans mon livre d’or S’inscrivant. Mon premier Baiser Ne fut pas volé, On ne sait pas caché Sur la crête de la Colline Tu m’as embrassé. Maintenant, Chaque Colline Me ramène à cet instant. Le temps a passé Mais rien n’a Effacé Ce...
Laurent Louis Saltini Poème Le jardin du père Léon LE JARDIN DU PÈRE LÉON Dans un petit coin d’Ardon Une allée d’arbres Majestueux monarque Que l’on veut aménager Comme un parc. Une allée d’arbres À transformer, À s’installer, Laisser la magie d’une promenade À notre imaginaire Dans l’esprit d’une balade Une allée d’arbres Un lieu de rendez-vous Laisser le hasard De nouvelles rencontres Venir à vous, Et sur un banc, Venir s’asseoir. Une allée d’arbres Que l’on va suivre Pas à pas, Son développement À raconter Par quelques mots Écrit sur le livre De ces travaux. Dans un petit coin d’Ardon Une allée d’arbres Majestueux monarque Que l’on veut aménager Comme un parc. Une allée d’arbres À transformer, À s’installer, Laisser la magie d’une promenade À notre imaginaire Dans l’esprit d’une balade Une allée d’arbres Un lieu de rendez-vous Laisser le hasard De nouvelles rencontres...
Laurent Louis Saltini Poème Nos châteaux de sable Nos châteaux de sable Où sont passés, Nos châteaux de sable ? Si patiemment dessinés Sur un bout de plage Sculptés Porteur de nos désirs Projetés Où sont passés, Nos châteaux de sable ? Sans doute par les vents Ont-ils été soufflés ? Vraisemblablement, Comme nos rêves Se sont-ils envolés ? Où sont passés, Nos châteaux de sable ? De nos décors imaginés Pourquoi se sont-ils éparpillés Dans cet océan de vie Qui nous a déshabillé Où sont passés, Nos châteaux de sable ? Comme tombés en Disgrâce, Ils s’en sont tous allés Pour se faire réinventer. Rejoindre Le temps qui passe Dans cette éternité Recommencée
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